Documentaire OVNI : des soucoupes volantes construites par les nazis?

Rédigé par JC le — Publié dans OVNI

Une courte note pour vous dire qu’il y a quelques jours, j’ai vu le documentaire intitulé UFOs: The Secret Evidence (Ovnis : les preuves secrètes). Le journaliste britannique Nick Cook, spécialisé dans l’aviation militaire, y expose une thèse voulant que des scientifiques nazis soient à l’origine d’engins volants qui auraient déclenché beaucoup de rapports d’observation d’ovnis.

D’après lui, pendant la Seconde Guerre mondiale, des scientifiques allemands auraient travaillé sur des projets tels que l’antigravité et la construction de disques volants dans une base souterraine ultrasecrète de Pologne. À la fin de la guerre, les Américains auraient capturé et emmené ces savants (et leurs technologies) aux États-Unis.


Ainsi, Nick Cook explique à sa façon l’incident de Roswell (un projet secret – baptisé «Paperclip» – développé avec l’aide de ces Allemands), des vagues d’observations d’ovnis, et le mystérieux cas de Soccoro (une soucoupe volante supersonique qui s’inscrirait dans la suite des travaux des scientifiques allemands, le projet «Silverbug»). La photo ci-dessus est d’ailleurs une capture d’écran d’une reconstitution de l’incident de Soccoro au Nouveau-Mexique (24 avril 1964) qu’on présente dans ce documentaire.

Nick Cook suggère également que, dans le but de garder le secret sur les essais de nouveaux avions militaires, notamment les U2 au-dessus de l’Union soviétique, les autorités américaines auraient même encouragé la croyance en l’hypothèse d’une origine extraterrestre dans les médias.

Vers la fin de son documentaire, Nick Cook précise cependant que si «beaucoup» de rapports d’ovnis pourraient s’expliquer par l’observation d’appareils militaires au design étrange, cette hypothèse ne peut s’appliquer à tous les cas impliquant un objet volant non identifié, en particulier lorsqu’il s’agit d’enlèvements (il parle du cas de Travis Walton, 1975).

Le documentaire UFOs: The Secret Evidence, originellement diffusé sur la chaîne Channel 4 (Royaume-Uni) en octobre 2005, est offert sur DVD mais, en cherchant des informations sur Internet, je me suis aperçu qu’il état hébergé dans la section Vidéo de Google. Je ne sais pas si c’est fait avec l’accord des éditeurs mais on peut facilement le trouver avec une recherche Web. En fait, il faudrait faire exprès pour ne pas tomber dessus. ;-)

Mon point de vue d’amateur d’ufologie pas très éclairé : l’hypothèse d’une origine principalement militaire des ovnis est certes séduisante par sa simplicité et son «économie», mais les «preuves secrètes» apportées par Nick Cook sont très minces et pas très convaincantes. Cela dit, ce documentaire est bien présenté et agréable à regarder.

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93 réponses à “Documentaire OVNI : des soucoupes volantes construites par les nazis?”

  1. JC dit :

    Orox : il serait certainement très flatté qu’on le compare à Oprah. Il me ferait plutôt penser à un Éric Salvail du paranormal.

  2. amethyste dit :

    Mystisme.

    Ne pas vous décourager avec David Sereda.

    Tenez, un lieu fort sympathique.

    http://www.tremelin-equitation.com/htm/info.asp

    De bonnes valeures sûres!!

    Encore, merci pour le lien.

    Amethyste

  3. chr dit :

    Vous n’êtes que des médisants envers ce pauvre mystisme. C’est sûr pour être un bon scientifique, il faut évidement tout connaître : physique, bio, chimie, religion, histoire, philo, archéo, romancier et surtout…. apprendre l’art d’être RENTIER.
    N’est-ce pas là l’art (ouais, bon..) le plus noble, n’oubliez pas mon cher Orox vos maisons, vos femmes… ;-)

  4. Orox dit :

    chr: Je ne suis pas rentier ni borné, loin de là… Si vous saviez tout le travail que ca représente d’avoir constamment raison envers et contre tous… Ca devient lassant à la longue… :-)

    Plus sérieusement, mes maisons et mes femmes sont des privilèges consentis à l’Etre Elu 666, c’est normal. (C’est moi qui a eu l’honneur d’écrire le 666ème post dans le billet  »Entretien avec Alain Dichesne… », ce n’est que justice).

    Je terminerai avec cette citation de JCVD, qui résume l’essentiel de ma pensée lorsque je suis en congé (car je travaille, et même très dur):

     »Je suis fascine par l’air. Si on enlevait l’air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre….Et les avions aussi…. En meme temps l’air tu peux pas le toucher…ca existe et ca existe pas…Ca nourrit l’homme sans qu’il ait faim…It’s magic…L’air c’est beau en meme temps tu peux pas le voir, c’est doux et tu peux pas le toucher…..L’air c’est un peu comme mon cerveau…  »

  5. JC dit :

    Orox, je crois que vous avez mis le doigt sur quelque chose d’intéressant : on pourrait soutenir que David Sereda essaie d’être le Jean-Claude Van Damme de l’ufologie et du paranormal.

    chr : personne n’a été médisant envers mystisme. Par contre, c’est vrai qu’on a cassé un peu de sucre sur le dos de Sereda (mais il le mérite bien). Ce type d’individu travaille contre la cause de l’ufologie. Pas étonnant que les vrais ufologues fuient les médias et travaillent dans l’ombre.

    Améthyste : on vous parle physique quantique, vous répondez équitation?

  6. amethyste dit :

    Jc.

    Oui.J ai bien compris.
    Juste un lien, une adresse que je lie à Mystisme pour changer d’air!!

    Amethyste.

    Chr, aussi s’ égare un peu!!!

    ….

  7. Orox dit :

    Au fond, j’aimerais dire quelque chose à Mystisme. Vous avez la chance d’avoir un pied dans le domaine pour lequel vous avez une attirance: les sciences. Je vous dis: foncez! Allez faire un BAC ou même plus dans le domaine qui vous intéresse. Vous ne le regretterez jamais. Peu importe l’âge que vous avez, ce n’est pas un obstacle. Les vocations commencent toujours de cette facon. Si vous parlez constamment de science, c’est que ca vous intéresse. Le Québec regorge d’universités compétentes, dont certaines ne sont presque jamais en grève!

  8. Orox dit :

    JC: David Sereda est le Vincent Lacroix du paranormal. :-)

  9. chr dit :

    Je travaille moi aussi « très dur », jongler sur les infractions en matière environnementale. Et pourtant je leur ai dit que je m’intéresse plus à la sauvegarde la biodiversité qu’ à leurs … »lois ». Je suis un incompris, triste la vie…
    L’EH fait-il ou non partie de notre biosphère … Et si les ET étaient inclus dans une espèce… « écosystème universel »…
    Théorie fumeuse qui prédirait que lorsque le sapiens sapiens sera en voie d’extinction, les ET débarqueront!!!

    JC : je faisais de l’humour.
    Je suis d’accord qu’il ne faut pas exagérer : soit nous sommes ce que j’appelerai un scientifique généraliste, soit un vrai spécialiste. Passez sa carrière à étudier les récepteurs membranaires d’Escherichia coli! C’est une vraie passion!
    IL y a aussi ceux qui ont rêvé d’avoir étudié des sciences et qui se proclament comme…
    « David Rael » ;-) oh, mais que je suis outrageant! Non, non, je suis désolé Orox mais c’est lui l’être élu!

  10. Orox dit :

    chr: Rael est le pendant masculin de David Sereda. :-)

    Je vais bientôt m’auto-censurer, je le sens…

  11. Orphee dit :

    Juste une parenthèse: Jean-Claude Vandamme, pour ceux qui connaitraient mal ses élans métapsychophysiques, vaut vraiment le détour.
    En cherchant sur internet on trouve des « trésors » :) qui vous permettrons, au besoin, de mourir heureux (donc de rire)

  12. JC dit :

    Effectivement Orphée : Van Damme, c’est du grand art! ;-)

    Orox : tout ça me donne presque envie de faire un billet sur Sereda, lorsque j’en aurai le temps. ;-)

  13. mystisme dit :

    he bien et bien merci de vos commentaire .
    orox: si jaime les science c est peut etre parceque je suis entoure de scientifique dans ma famille’astronome mathematicien physicien meme un archeologue, vous devrier voir les debats a noel c est l enfer et tout retourne a la religion de lexistance ou pas de dieu et comme tout le temps cela fini toujours en chicane de famille et ca c est quand la psycholoque de soeur mets son grain de sel en sortant ses theories j avoue que des fois c est tres irritant.Alors donc je disait que j en ai aucun merite la dessus et des fois je reve d avoir une famille de caissier pousseux crayon simplement. juste te dire aucun d entre eux n est connu heureusement il y a moins ca non?

  14. tuierry 76quin dit :

    en 1977 un voyageur est partis dans l espace pour nous faire connaitre.pour celas il doit faire plusieurs millions de kilometres.propulsé dans un coridor spacial temporel il arrive en 5112 annee terrestre.recupéré par une intelligence extra terrestre qui dechiffre nos coordonné une délégation est envoyé sur terre pour nous etudier.remontant le coridor temporel’mais pas a la meme vitesses ils crée un decalage qui les emmenent en 1947.malheureusement il se crash au mexique a roswelle ou la terre est loin d etre dans la conquette de l espace. mediter sur cette fiction a la thierry.

  15. matière dit :

    j’aime cette vue de l’espri , cela est juste ,pouquoi dire que tout cela ne serais que pure fiction.Il se peut toute hypothèse dans ce grand univers .

  16. Dr. ORLOFF dit :

    Bonjour,
    A l’attention de « Orphée »… J’ai lu toutes ces interventions sur ce forum. A-t-il seulement dans son existence réellement étudié les sciences et principalement les mathématiques et la physique ? Le soussigné (Dr. d’Etat ès Science Mathématique et Dr. d’Etat ès Science Physique, Licencié en épistémologie) en doute au plus haut point en découvrant cette prose qui s’apparente aux élucubrations des « RBB » (= « Rationaliste Bête et Borné » !) façon du sous ingénieur « occultisto-positiviste » (vous savez ce grand flandrin d’Auguste Comte qui, au XIXème siècle, dans ses délires croyait que le rationalisme se confondait avec la réalité et avait écrit, sic, « Le Catéchisme positiviste »… Tout un programme !) appelé Henri Broch, alias, « Bric-à-Brac », un farfelus qui se prend très au sérieux.
    En l’espèce, le monsieur qui signe Bernard Poulin a entièrement raison. La « MHD » (« Magnétohydrodynamique ») est une science que cela plaise ou non à Orphée !
    Plusieurs ingénieurs et non des moindres ont depuis plusieurs années fait voler des soucoupes volantes, (il est vrai plutôt moins bien que souhaité) et l’une d’elle a même été photographiée et reproduite dans une publication d’ingénierie spécialisée. Cette technologie s’apparente au célèbre projet américain « ARVO » qui à même fait l’objet d’un documentaire sur la chaine de télévision Arte !
    D’autre part et pour revenir à la « MHD », d’autres ingénieurs, précisément sous forme de modèle réduit font actuellement voler des engins discoïdaux par « MHD », alors ?
    Allons Orphée, mets-toi à étudier les sciences…
    Dr. ORLOFF

    Note de JC: «Dr» Orloff, j’ai coupé vos insultes envers Orphée. Merci de respecter les règles de base de la politesse afin d’éviter que vos commentaires ne soient supprimés.

  17. Dr. ORLOFF dit :

    Bonjour,
    Encore une précision : il existe des centaines de brevets (je dispose d’une copie de plusieurs d’entre eux…) tant autour de la « MHD », que sur les moteurs non linéaires, certaines des inventions de Nicolas TESLA, la Logique Non-Aristotélitienne, différents types de moyens de propulsion pour engins de forme discoïdale, etc…
    Orphée ignore aujourd’hui ces FAITS.
    Faire du modélisme (lequel ? Des petites voitures en plastique genre « joujoux-chips ») permet-il de venir contester des données émanant d’autorités indiscutables des sciences physiques, dont par exemple le Dr. Jean-Pierre Petit qui a publié dans la revue de l’Académie des Sciences sur la « MHD » ?
    Signé Dr. ORLOFF (Physicien-mathématicien et épistémologue…)
    Voire ma première intervention ci-dessus.

    Note de JC: «Dr» Orloff, j’ai coupé vos insultes envers Orphée. Merci de respecter les règles de base de la politesse afin d’éviter que vos commentaires ne soient supprimés.

  18. Dr. ORLOFF dit :

    Bonjour,
    Voici quelques explications pour Orphée…
    Désolé si le côté technique le rebute quelque peu…
    Trois méthodes de propulsion électrodynamique

    Selon le principe bien établi des forces de Laplace et de Coulomb. Les plus prometteuses exploitent l’hyperpolarisabilité diélectrique de l’air excité près du seuil d’ionisation et l’électrocondensation de l’eau. Toutes exigent dans leur mise en œuvre efficace, un unique procédé: l’ionisation ou seulement l’excitation des gaz par des avalanches d’électrons induites par de brèves et intenses impulsions ou gradients de champs électriques. L’EHD se distingue par sa simplicité et son efficacité, du fait de son action sur les immenses masses d’air à l’intérieur de l’onde de choc toute entière et même son extension artificielle et par la synergie de nombreux effets propulsifs. L’effet de Hall convertit les systèmes EHD pour fonctionner dans l’ionosphère aux nombres de Mach élevés.
    1/ La Magnétohydrodynamique ou MHD

    Il s’agit d’accélérer un fluide conducteur par la force d’Ampère F = J x B, perpendiculairement à un courant et à un champ magnétique. L’un des problèmes, c’est la puissance dissipée P = RJ2. C’est-à-dire que si la force F est linéairement proportionnelle à l’intensité du champ B et au courant J, la dissipation, elle, est quadratique en ce dernier. Voici donc les domaines où la MHD excelle:

    - Convertisseurs électromécaniques utilisant un métal liquide, conducteur exceptionnel. L’idéal, c’est le sodium liquide, de faible densité, et donc de faible inertie. Le rendement atteint 85%. Deux exemples connus sont les pompes du système de refroidissement au sodium du regretté Superphénix, et un prototype de moteur à explosion ultra-compact dont l’énergie est instantanément convertie en électricité. Plus de vilebrequin, ni de transmission mécanique, de boîte de vitesse ou d’alternateur: le piston déplace directement le sodium, dont des aimants permanents au Fer-Néodyme convertissent directement l’énergie cinétique en électricité. Ce générateur ultra-léger et compact fonctionne au régime optimal, car sa dynamique peut être entièrement contrôlée par un microprocesseur. Une partie de l’énergie est dissipée en turbulence et dans l’électrode. Principaux inconvénients: la température de fonctionnement et le risque d’incendie. Manifestement, le rendement et la fiabilité d’un moteur similaire à bobinages sont potentiellement supérieurs.

    - Le jour où nous maîtriserons la fusion thermonucléaire dans des plasmas de très haute température (~150 Millions de °K), la MHD sera la méthode idéale de conversion de leur énergie en électricité. Ce jour semble lointain, pour l’instant. Toutefois il existe déjà des sources d’énergie susceptibles de tirer profit d’un tel système.

    - Guidage de rentrée ionosphérique par aérofrein magnétique. Vraisemblablement testé dans les missiles balistiques à têtes simples ou multiples dès les années 1970. Des essais pourraient avoir induit des observations d’Ovnis assez spectaculaires (essaims de boules lumineuses capables de changer indépendamment de directions) dont l’étude justifie un organisme tel que le SEPRA. Il existe une version naturelle, tout aussi spectaculaire de ce phénomène: la rentrée et fragmentation d’un météorite ferreux magnétisé (songer à une forme irrégulière tournant, ricochant, magnétisée de façon désaxée et se fragmentant de façon aléatoire).

    Voici des domaines où la MHD est envisageable, avec un rendement médiocre que compensent toutefois des avantages:

    - Accélération dans l’eau de mer, comme pour le sous-marin nucléaire du film Octobre Rouge. Les problèmes majeurs sont la dissipation ohmique de l’eau salée (~5W-m), et électrochimique au-dessus de 1.5Volts, qui aboutit surtout à électrolyser l’eau. Le rendement atteint néanmoins 50% (soit 50% de chaleur dissipée en propulsion, qu’il faut tempérer par le rendement du cycle d’alimentation). L’avantage recherché est le silence des sous-marins nucléaires stratégiques.

    - Accélération d’une torpille sous-marine à supercavitation, se déplaçant dans une bulle essentiellement produite par l’éjection près de la pointe des gaz d’un générateur chimique. L’électrolyse de l’eau contribuerait, sur la surface intérieure de la bulle, à la supercavitation, tandis que l’hydrogène et l’oxygène produits y seraient brûlés, contribuant à maintenir la pression. L’énergie électrique est produite électrochimiquement par une turbine ou par combustion d’Aluminium dans l’eau, les gaz étant éjectés à l’avant. L’engin n’est supposé fonctionner que quelques dizaines de secondes. Les vitesses atteintes seraient de centaines de Km/h. La méthode serait applicable à un mini sous-marin d’attaque, mais vraisemblablement sur des temps limités, en analogie avec la post-combustion des chasseurs supersoniques.

    - Accélération ou freinage d’un satellite dans l’ionosphère, grâce à un câble conducteur isolé sur sa longueur et tendu dans le champ ambiant, vers le haut par la force centrifuge. Le freinage convertit l’énergie cinétique du satellite en électricité. L’idée, en tant que système de propulsion, est d’économiser le dernier étage de mise sur orbite haute en se servant de l’énergie de panneaux solaires durant plusieurs mois. En tant que moyen de freinage, un système analogue se révélerait utile pour des missions interplanétaires, un champ magnétique artificiel autour du véhicule complétant le champ naturel. Le désavantage, en mode propulsif, est la ténuité et la résistance du plasma ionosphérique. L’avantage est une énergie ambiante inépuisable pour un tel système, celle du Soleil dans le voisinage terrestre. Pour l’instant, les tentatives faites dans ce sens ont échoué: le câble déroulé depuis la navette spatiale s’était rompu, et un satellite lancé auparavant n’avait pu dérouler le sien. Mais en principe, ces difficultés peuvent être surmontées.

    - Convertisseur de flux aérodynamique en puissance électrique. L’ionisation à cascades électroniques le long des lignes de flux représente une puissance modeste, de quelques kilowatts. Le rendement atteint 25% à Mach 3 et 13% à Mach 8. Peut être utile en tant que générateur capable de fournir des mégawatts, mais pose de nombreux problèmes, notamment de poids, d’échauffement des flux et des composants qui rendent son utilisation délicate, voire difficile pour le freinage des flux en amont d’un statoréacteur. Néanmoins, une utilisation modérée ferait la différence qui permet à un statoréacteur de fonctionner en hypersonique.

    - Contrôle ponctuel des flux aérodynamiques sur des régions critiques à haute altitude où une densité élevée de force est désirable. L’effet de Hall étend le champ d’application aux volumes importants, surtout à haute altitude et nombres de Mach élevés, mais est généralement considéré comme participant de la propulsion électrique.

    Merci. La suite tout prochainement…
    Dr. ORLOFF