Théorie observationnelle, physique quantique et voyage dans le temps

Rédigé par Basile le — Publié dans Parapsychologie

On entend souvent dire que la parapsychologie n’a jamais su produire d’explications scientifiques des phénomènes qu’elle étudie. Les parapsychologues auraient le nez dans le guidon, essayant d’imiter la froideur des laboratoires scientifiques en passant à côté de l’essentiel. En réalité, il y a pléthore de modèles théoriques en parapsychologie, et la plupart reposent sur des prédictions et des vérifications expérimentales, tout ce qu’il y a de plus «scientifique».

Sauf que ces modèles ne vont pas forcément dans le sens d’un matérialisme-mécanicisme conventionnel; et qu’ils subissent eux-mêmes des interprétations trop naïves. Pour commencer à mieux comprendre la «parapsychologie théorique», nous avons décidé de commencer par le programme de recherche dit «théorie observationnelle» qui a démarré dans les années 1970-80.

La genèse

Dans les années 1970, la physique quantique fit quelques remous. Tant sur le plan théorique (tel que présenté par D’Espagnat) que sur le plan empirique (avec Aspect), elle officialisait ce champ de la physique dont plusieurs prix Nobel avaient marqué les étapes. Elle commença surtout à pénétrer la culture à coups de vulgarisations et de spiritualisations. Tout le monde commençait à parler de «réduction du paquet d’onde» et de «non-localité» pour une chose ou une autre. Rapidement surgirent des interprétations naïves rapprochant «non-séparabilité» et «télépathie», ou «influence de l’observateur» et «psychokinèse».


Les parapsychologues se sont également engouffrés dans ce rapprochement avec la physique quantique. Comme à leur habitude, ils cherchent à s’associer aux modèles qui ont le vent en poupe – surtout quand le manque de recul sur ces théorisations est porteur de «mystères» – depuis le magnétisme animal, l’électricité humaine, la T.S.F. avec l’au-delà, etc.

Au début des années 1970, Rhine s’est mis en retrait. De nouvelles générations émergèrent en remettant en cause son modèle implicite où l’ESP (perceptions extrasensorielles) et la PK (psychokinèse) sont des signaux transmis par l’esprit. L’approche de Rhine consistait plutôt à ne pas trop théoriser, à utiliser des concepts flous, et à accumuler des données en laboratoire sans savoir qu’en faire. Après son départ, plusieurs physiciens essayèrent de penser le psi selon les nouvelles idées dans leur discipline, mais surtout à partir d’expérimentations novatrices conçues pour tester des modèles théoriques (pour une présentation plus complète, voir le chapitre de Hansen traduit sur le site de l’IMI ici et ici).

Il y eut d’abord un colloque à Genève en 1974 sur Physique quantique et parapsychologie, puis un autre plus médiatique et controversé à Cordoue en 1979, sur Science et Conscience. De nombreuses spéculations furent émises avec beaucoup d’enthousiasme et peu de données. L’idée générale, qui donnera son nom aux théories observationnelles, est que l’expérimentateur fait aussi partie de l’expérience, que par ses actions objectives – comme l’acte de mesure – il «observe» le phénomène qu’il étudie; et par cette observation consciente transitent certaines informations qui modifient la forme du phénomène. On aurait jusqu’alors négligé cette place de l’observateur dans son observation. Cette interprétation de la révolution quantique allait déclencher une large controverse, que certains aiment à penser close. Mais, en parapsychologie, le débat reste concret.

La rétro-PK

À la même époque, le physicien allemand Helmut Schmidt, émigré à Seattle, commençait ses premières expérimentations de PK sur des appareils électroniques générant des nombres au hasard (GNA), avec lesquelles il avait remplacé très avantageusement les machines de Rhine lançant des dés. En France, l’ingénieur Pierre Janin utilisait un tel appareil couplé avec un robot mobile, ce qui donna le tychoscope (photo ci-contre GERP). Janin correspondait avec Schmidt et ils discutèrent ensemble d’un phénomène inimaginable: une psychokinèse dans le passé (dite rétroactive, soit rétro-PK). Chacun élabora sa propre expérimentation de son côté. Et c’est Schmidt qui s’en sortit le mieux.

Schmidt inventa un nouveau type de cibles sur lesquelles les sujets devaient concentrer leurs efforts: les cibles pré-enregistrées (Pre-Recording Targets). Avec les débuts de l’informatique, on pouvait demander à un ordinateur de récolter les données émises par le GNA électronique, de les enregistrer en double exemplaire et même de convertir ces données sous forme de sons, et tout cela sans qu’aucun «observateur humain» n’ait à intervenir dans le processus.

Ainsi, Schmidt produisait des données codées sur bande magnétique, et mettait l’un des exemplaires dans un coffre et l’autre exemplaire – rigoureusement identique – était utilisé pour l’expérience. Il mettait un casque audio sur la tête d’un sujet en lui demandant d’influencer la sortie des sons. Comme le GNA ne produit que des 0 et des 1, Schmidt associa par exemple le 0 à un son qui serait émis du côté gauche dans le casque, et le 1 du côté droit. Le sujet devait par exemple choisir d’entendre le plus de sons possible à droite – ce qui devait correspondre au final à une séquence de données montrant significativement plus de 1 que de 0.

Ce que le sujet ne savait pas toujours, et qui fait toute la saveur de la chose, c’est que la séquence magnétique qu’il écoutait n’était qu’un «play-back». La séquence qu’il tentait d’influencer avait déjà été totalement matérialisée, et son jumeau résidait d’ailleurs en sûreté dans un coffre. En analysant seulement après l’expérience le nombre de 0 et de 1 dans les données pré-enregistrées, et en le comparant à l’intention du sujet émise du futur, Schmidt obtint des effets statistiquement significatifs de «rétro-PK».

30 ans après…

Peu de chercheurs ont tenté de reproduire les travaux de Schmidt, sinon Schmidt lui-même. La PK sur des cibles «dans le présent» ne montre qu’un effet très faible qui pourrait être dû à un biais de publications, selon une récente méta-analyse (Bösch et al., 2006). Mais la PK sur des cibles «dans le passé» obtient des résultats au moins égaux, sinon meilleurs (Bierman et Whitmarsch, 2006). Les physiciens ne sont pas eux-mêmes fermés à cette éventualité d’actions dans le passé qui permettrait d’avancer sur certains problèmes (celui de la symétrie temporelle, de la rétro-causalité, etc.). Un congrès de l’American Association for Advancement of Science a même été organisé en 2006 à San Diego avec de nombreux parapsychologues (voir les actes à 147$ ici).

La thèse d’un «subjectivisme radical» ou d’une «réduction subjective» – où c’est la conscience qui interviendrait nécessairement lors d’une mesure – n’est plus vraiment d’actualité. Ses défenseurs – comme Evan Harris Walker ou Olivier Costa de Beauregard – sont morts, et de leur vivant ils n’étaient pas plus écoutés. On n’a pourtant pas beaucoup avancé sur notre compréhension de ce que sont la conscience, la mesure ou un observateur.

Toutefois, le programme de recherche décortiquant les «théories observationnelles» continue à faire son chemin et à poser plein de questions. Les données expérimentales sur le pressentiment – où on mesure des réactions physiologiques anticipées chez des sujets regardant des images plus ou moins émotionnellement chargées – continuent à laisser penser qu’un effet rétroactif est possible (Bierman & Radin, 1997). Certaines expériences montrent même que cet effet anticipé disparaît si l’image ne reste pas suffisamment longtemps à l’écran pour que le sujet en prenne pleinement conscience (Murphy & Zajonc, 1993).

Il est amusant de voir comment les parapsychologues foncent vers leur laboratoire tandis que les autres spéculent sur de la métaphysique. Le comique est poussé à son extrême par l’exemple du fameux «chat de Schrödinger», une expérience «de pensée» qui devient une expérimentation réelle avec les parapsychologues (Walker et al., 1988; May & Spottiswood, 1988; ne vous inquiétez pas, ils n’ont pas maltraité trop de chats)!

Intérêts et paradoxes de la théorie observationnelle

Dans la thèse du néerlandais Joop Houtkooper (1983) (voir aussi cet article en PDF), celui-ci réalise plusieurs expérimentations à partir des théories observationnelles. Il n’a pas choisi une interprétation plutôt qu’une autre, et montre bien tout l’intérêt d’étudier toutes les hypothèses en même temps. Il expose aussi comment, en manipulant le «feed-back» que reçoit le sujet, le nombre de fois où la cible est influencée/observée ainsi que le type d’observations, on arrive à produire toute une gamme de protocoles permettant de progresser sur un plan théorique. De sorte que pour lui, le programme de recherche «théorie observationnelle» a plusieurs avantages heuristiques (p. 101):

1) Il remet en cause le paradigme simpliste de la transmission de signal psi (Rhine) ainsi que celui du déterminisme statistique (des physiciens hors physique quantique).
2) Le phénomène de rétro-PK a été prédit et corroboré expérimentalement.
3) Cela rend compte aussi directement de la précognition.
4) Les divers phénomènes paranormaux (PK, clairvoyance et précognition) peuvent être unifiés. Il n’y aurait qu’un phénomène psi à étudier, s’exprimant avec différents visages.
5) La théorie observationnelle permet plusieurs manipulations expérimentales permettant de tester des modèles. On apprend plus de choses qu’avec une recherche uniquement orientée vers la preuve, et notamment quoi faire pour produire des preuves plus solides!
6) On peut justifier l’utilisation de dés ou de GNA plutôt que d’instruments capables d’infimes mesures physiques. [Même si ça contribue à faire du psi un objet très abstrait.]

Malgré ces intérêts, la théorie observationnelle occasionne moult paradoxes, qui sont d’ailleurs des problèmes souvent partagés avec ceux qui travaillent en physique quantique: Qu’est-ce qu’une mesure/observation? Qu’est-ce qui provoque fondamentalement la «réduction de la fonction d’onde»?

En parapsychologie, ces questions se concrétisent avec le «paradoxe des observateurs multiples» et le «dilemme du contrôle expérimental» (ou effet de l’observateur ultérieur, dit aussi problème de la divergence).

Dans le paradoxe des observateurs multiples, l’idée est que le résultat d’une expérience de parapsychologie ne sera pas seulement l’effet de l’intention d’un sujet (par exemple, celui qui écoute les sons pré-enregistrés dans le casque) mais de toutes les personnes qui émettent des intentions vis-à-vis de l’issue de l’expérience. Ainsi, l’expérimentateur qui veut voir son résultat se confirmer participerait sans le vouloir au phénomène. Énorme problème qui remet tout simplement en cause le postulat de l’objectivité scientifique. Et plusieurs expériences viennent appuyer cette hypothèse: selon l’expérimentateur, et alors même qu’il n’a aucun contact direct avec les sujets, les résultats varieront du tout au tout (le célèbre «effet expérimentateur psi», depuis West et Fisk, 1953, à distinguer des effets où les expérimentateurs traitent directement avec les participants à l’expérience).

Le dilemme du contrôle expérimental n’est que la suite logique de ce premier paradoxe: on a ainsi pu mesurer un effet de celui qui analyse les données! Le pauvre statisticien à qui on fournit les feuilles de score pourrait-il remettre en cause plusieurs semaines de test impliquant des dizaines de personnes? L’effet paraît complètement fou, et surtout sans fin. Qui est un observateur potentiel? Quelle est la magnitude de sa potentialité? Est-ce que les sceptiques qui liront les résultats de l’étude une fois publiée agiraient à rebours pour diminuer ses résultats? Le contrôle expérimental n’est plus assuré car la situation expérimentale n’a plus aucune limite. Elle ne prend jamais fin, ni temporellement ni spatialement. Et du coup, on ne peut plus interpréter les résultats sinon par une théorie du complot anti-psi («Les sceptiques étant majoritaires, ils provoqueraient les échecs des tests parapsychologiques!»).

Autre paradoxe: l’idée que la rétro-PK correspond vraiment à une modification du passé nous plonge directement dans la science-fiction. Pourquoi ne pas modifier Hitler par rétro-PK? Quelles conséquences si j’élimine mon propre grand-père?

Prenons l’expérience d’Elmar Gruber (1980). Ses cibles pré-enregistrées correspondent aux personnes qui passent en dessous d’un dispositif photo-électrique. La première fois, le dispositif est placé à l’entrée d’un magasin; la seconde fois, à l’entrée d’un tunnel traversé par des voitures. À chaque fois qu’une personne passe, le dispositif enregistre un bit d’information. Gruber détermine aléatoirement une séquence «contrôle» et une séquence «expérimentale» avec toutes ses données. Puis il reconvertit ces bits en sons qui seront joués dans le casque d’un futur sujet (chargé d’augmenter le taux de sons). Et Gruber obtient plus de bits pour les séquences expérimentales que pour les séquences contrôles. Doit-on comprendre cette corrélation par une influence du sujet vers les personnes qui décideront d’entrer à ce moment-là, et pas à un autre, dans le supermarché ou le tunnel? Cela suggère un pouvoir illimité, alors que d’autres interprétations de ces corrélations sont possibles.

Derrière ces idées grandiloquentes, il y a encore quelques données qui laissent penser que le problème n’est pas si absurde. Les chercheurs ont pu montrer que la PK rétroactive répétée (RRPK = PK sur la répétition du play-back des mêmes essais, avec l’intention de les influencer à chaque fois) pouvait permettre à un même sujet d’obtenir une déviation encore plus importante par rapport au hasard avec la même cible. D’autres expériences ont mis en évidence que si plusieurs personnes observaient successivement les mêmes données, mais dans des conditions différentes, les résultats étaient effectivement parasités. Face à ce problème, les parapsychologues ont tenté d’ériger des remparts comme le modèle hiérarchique d’Houtkooper (1983) où tous les observateurs ne sont pas au même niveau, d’autres étant apparemment plus influents que d’autres. Mais cela ne fait que repousser le problème, car il faut pouvoir définir différents niveaux d’observateur, et en fonction de quoi?

Conclusion temporaire

Nous sommes loin d’avoir fait le tour des travaux autour des théories observationnelles. Une prochaine fois, nous présenterons le Modèle de l’Information Pragmatique qui se présente comme une théorie observationnelle qui résout plusieurs paradoxes, dont le problème de la divergence. La rétro-PK y est réinterprété comme un phénomène qui n’a rien à voir avec une modification du passé, mais plutôt comme une corrélation à distance «dans le temps». Et on explique enfin ce qui limite une expérience de parapsychologie et ce qui définit un observateur… (D’où l’intérêt de cette introduction à la parapsychologie théorique totalement déroutante!)


Références

Bierman, D. J. & Radin, D. I. (1997). Anomalous anticipatory response on randomized future conditions. Perceptual and Motor Skills, 84, 689-690.

Bösch, H, Steinkamp, F, and Boller, E (2006). Examining psychokinesis: The interaction of human intention with random number generators – A meta-analysis. Psychological Bulletin, 132, 497-523.

Gruber, E.R. (1980). PK Effects on Pre-Recorded Group Behavior of Living Systems. European Journal of Parapsychology, 3(2), 167-175.

Houtkooper, J.M. (1983). Observational theory: A research programme for paranormal phenomena, Thèse à l’université d’Utrecht.

May, E.C., & Spottiswoode, S.J.P. (1988). A Michelson-Interferometer Schrödinger Cat: The Death of the Observational Theories. Proceedings of the Parapsychological Association 31st Annual Convention, Montreal.

Murphy, S.T. & Zajonc, R.B. (1993). Affect, Cognition and Awarenees: Affective priming with optimal and suboptimal stimulus exposures. Journal of Personality and Social Psychology, 64(5). 723-739.

Walker, E.H., May, E.C., Spottiswoode, S.J.P., & Piantanida, T. (1988). Testing Schrödinger’s Paradox With A Michelson Interferometer. Physica B&C, 151(1-2), 339-348.

West, D.J., & Fisk, G.W. (1953). A Dual ESP Experiment with Clock Cards. Journal of the Society for Psychical Research, 37, 185-197.


8 réponses à “Théorie observationnelle, physique quantique et voyage dans le temps”

  1. Orphée dit :

    Très intéressant JC
    Se pose donc la question suivante: puis-je ressuciter la souris que mon chat m’a gentiment déposé devant la porte ce matin par la puissance de mon z’esprit ? ;-)

    M’enfin bref, il me semble que le problème n’est plus tellement de prouver les « anomalies paranormales » mais d’y trouver La Méthode Qui Marche pour produire des résultats véritablement utiles.
    Selon ma dernière découverte que c’est moi qui l’ai faite, l’univers entier serait constitué de cette paranormalité et nous, les hommes, en serions un piêtre résultat en ce sens que plus une structure est complexe, moins elle serait apte à comprendre la « réalité ». A contraire une construction ne serait qu’une illusion support à une autre construction encore moins apte à saisir sa nature.
    Bref, nous serions des tarés mais sur ce coup c’est connu depuis longtemps, hein ? ;-)

  2. vivianite dit :

    En effet, ces théories sont tout à fait dignes de la science-fiction … Je vais me faire une liste des évènements passés que j’aimerais bien changer, dans ma vie … Mais serait – ce vraiment drôle, si j’y parvenais ?

  3. Bob dit :

    Bonjour,

    Article intéressant qui tente de vulgariser des recherches complexes.

    La question de la place de l’observateur n’est pas résolue pour une raison bien simple : l’impossibilité à l’heure actuelle de proposer un dispositif qui permettrait de tester si le phénomène provient du dispositif ou de l’observateur lui-même.

    C’est le même problème rencontré en parapsychologie. Les questionnements induits par certaines recherches sont fondamentaux, en particulier les expériences de Schmidt. Ces expériences sont d’une élégance rare. Elles ont potentiellement un impact énorme sur le champ scientifique. Mais elles sont complètement impossibles à intégrer dans les modèles actuels même si elles étaient reproduites et confirmées plus largement. L’écart entre les théories et ce type de faits est bien trop grand et conduit ainsi à de nombreuses disgressions et récupérations plus ou moins rigoureuses.

  4. arc47 dit :

    En faite même d’après la mécanique quantique, le voyage dans le temps n’est pas possible

  5. Francis Serrot dit :

    bonjour,
    tous ces articles sont super interessants.
    Pourtant ils tournent tous (et pas seulement les votres mais également sur tous les sites et blogs divers) autour de trois mots :

    théorie, théorème, théologie

    Alors qui sommes nous ? des « Theo »rriens ou des Terriens ?

    quoiqu’il en soit, nous sommes bien des TERRIENS et nous détruirons notre planète un jour ou l’autre….pas besoin de comète ou de taches solaires ou de prophètes et de calendrier(s) pour celà…le compte à rebours est parti depuis que l’homme est arrivé sur cette planète bleue que j’appelerais plutôt sur cette planète couverte de bleus…..
    cordialement
    un Terrien comme les milliards et quelques d’autres….

  6. OBERSONN888 dit :

    Bonjour, comment ça va? Je trouve votre blog non seulement intéressant, mais aussi important. En effet, les différents domaines de l’insolite trouvent parfois de la peine à trouver un chemin d’expression.
    Concernant l’article sur la « retro-PK », j’ai vu il y a environ une année, une émission à la télé qui montrait une expérience avec un appareil électronique similaire à celui qui figure dans l’article ci-dessus. L’expérience en question avait lieu dans un enclos à l’intérieur duquel se trouvait des poussins…Au sol ce trouvait un papier chargé de recevoir les dessins matérialisant les déplacements aléatoires de l’appareil électronique. Le but de l’expérience était de voir si les poussins prenaient le robot pour leur mère et de ce fait émettaient en direction du robot des ondes en vue de l’attirer à eux…
    Les résultats ne se firent pas attendre longtemps. Le robot avait déposé les lignes de ses différents déplacement à proximité des poussins qui ne pouvaient pas sortit de leur emplacement.
    Le robot avait une surface de déplacement assez grande pour pouvoir se déplacer dans tout son périmètre, mais il ne l’a pas fait! Curieuses expériences insolites non? Cet expérimentateur scientifique est-il le même que décrit dans l’article ce-dessus, je ne le sais pas mais j’espère retrouver la vidéo qui présente cette expérience. A bientôt.

  7. clovis simard dit :

    Bonjour,

    Vous trouverez ci-joint mon Blog présentant ma nouvelle théorie mathématique de la conscience.
    Par la présente, j’aimerais si vous le voulez bien que les scientifiques de votre communauté me fassent parvenir leur commentaire.

    Cordialement

    Dr Clovis Simard,phD

  8. 0livier dit :

    @Clovis
    Un peu gros et pas que la typo: heureusement je ne suis pas scientifique!