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Dans son dernier rapport annuel sur les observations d’ovnis au Canada, l’ufologue Chris Rutkowski (photo ci-contre, Université du Manitoba) annonce que pas moins de 1004 rapports ont été recueillis au cours de l’année 2008, un nombre record qui représente tout de même, en moyenne, près de trois signalements de phénomènes aériens non identifiés par jour. Une vague d’ovnis aurait-elle déferlé sur le Canada en 2008?
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Il est assez difficile de s’informer sur ce qu’on fait vraiment en parapsychologie. Rien qu’en francophonie, le terme est utilisé à toutes les sauces, du salon de la parapsychologie au parapsychothérapeute. On nous annonce aussi des chaires et des laboratoires de parapsychologie de par le monde, mais qu’en est-il vraiment? Difficile de le savoir si on ne lit pas au moins l’anglais, et qu’on n’est pas un patient adepte du déterrement de pages web. Aujourd’hui, les choses ont changé. Internet a facilité la matérialisation d’une communauté de parapsychologues oeuvrant dans le monde entier avec une interface basée sur l’anglais universel. Et c’est ainsi que deux nouveaux documents viennent d’être publiés: la liste des cours «sérieux» de parapsychologie près de chez vous ou on-line, et surtout le Livre blanc de la parapsychologie publié sur le site de l’Institut Métapsychique International (logo ci-contre).
Des «chercheurs indépendants» sur l’an 2012 s’efforcent de trouver des éléments concrets (et apparemment scientifiques) pour étayer leurs théories sur la «fin du monde» ou la «fin d’un monde», censée survenir le 21 décembre 2012, date de la fin du compte long d’un calendrier maya.
Quoi de mieux que l’astronomie, reine des sciences, pour trouver cette crédibilité tant recherchée? Pour justifier la date du 21 décembre 2012, on parle ainsi d’un alignement du Soleil avec le centre de la galaxie ou – plus rarement (et pour cause!) – d’un alignement des planètes du système solaire. Mythe ou réalité? Science ou superstition? Astronomie ou astrologie? Lire la suite… 
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C’est un grand jour dans l’histoire de l’exobiologie, et un premier pas qui nous mènera peut-être à la découverte de la vie à l’extérieur du système solaire! J’exagère à peine. Des chercheurs annoncent qu’ils ont découvert la plus petite exoplanète connue à ce jour: moins de deux fois la taille de notre bonne vieille Terre. Mieux encore, cette planète extrasolaire serait au moins partiellement rocheuse. Au centre de la photo ci-contre (prise avec le télescope Canada-France-Hawaï), on peut voir l’étoile autour de laquelle cette «petite super Terre» décrit son orbite.
En parapsychologie, un projet se dégage par son originalité. Le Global Consciousness Project (Projet sur la conscience globale, qu’on abrégera GCP) consiste à faire parler des millions de données produites par des générateurs d’événements aléatoires répartis dans le monde entier. L’une des grandes hypothèses est que le hasard fluctuerait temporellement et localement, en fonction d’événements chargés affectivement pour une portion de la population locale ou mondiale. Bref, à la carte, on a le choix entre d’un côté des interprétations en termes de noosphère ou d’inconscient collectif, de l’autre des descriptions plus scientifiques, notamment publiées dans Foundations of Physics Letters (Nelson et al., 2002) et plus récemment dans le Journal of Scientific Exploration (Bancel & Nelson, 2008).
Le projet attire l’attention depuis quelque temps pour plusieurs raisons. Tout d’abord, une présentation du GCP par le physicien Peter Bancel est disponible en anglais sur YouTube.
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Le célèbre romancier américain Stephen King n’est plus à présenter (300 millions de livres vendus, ça aide). Tout le monde est tombé un jour ou l’autre sur l’un de ses ouvrages, ou l’un des films – souvent médiocres mais tout de même cultes – tirés de ses scénarios. On sait que ses livres flirtent généralement entre l’horreur et la science-fiction, laissant une large place au paranormal. Dans ce billet, je propose de questionner les références de Stephen King en matière de parapsychologie, en me basant principalement sur l’étude réalisée par Roland Ernould (Stephen King et le paranormal). Quelle vision du paranormal est diffusée par ce romancier à gros tirage? Qu’est-ce que cela nous apprend sur la façon dont notre société digère le sujet?
Il y a quelque temps, je regardais les expressions de recherche qui conduisaient les internautes vers mon humble blog et, devant le caractère inusité ou cocasse de certaines d’entre elles, je me suis dit que ça vaudrait peut-être le coup d’en faire une compilation dans un billet.
Eh bien, c’est chose faite! Dans ce billet, vous trouverez des expressions de recherche qui ont retenu mon attention à cause de l’étrangeté de la requête elle-même ou du fait que l’expression recherchée, qui n’est pas nécessairement bizarre en soi, ait conduit des internautes ici. C’est donc tantôt une espèce de bêtisier, tantôt la preuve que Google ne comprend rien aux textes qu’il indexe. Parfois, c’est aussi un étrange effet des commentaires qui fait qu’un internaute qui débarque sur ce blog trouvera tout sauf ce qu’il cherchait.
Notez que, par souci d’authenticité, j’ai conservé l’orthographe originale des mots recherchés, qui sont indiqués entre guillemets. Pour alléger la lecture (et aussi par paresse ), j’ai cependant omis tous les sic qui auraient été nécessaires.
J’avais d’abord pensé commenter brièvement certaines de ces expressions de recherche mais, ensuite, je me suis dit que vous seriez bien capables de le faire vous-mêmes, et probablement mieux que moi. À vos claviers! Lire la suite…
Détrompez-vous, il ne s’agit pas de la secte qui recrute des stars très en vue à Hollywood, celle qu’il n’est pas possible de critiquer sans se retrouver devant les tribunaux. Je voulais plutôt vous parler du film-catastrophe «2012», de Roland Emmerich («10 000», «Le jour d’après» et «Independence Day»), dont une bande-annonce a été lancée la semaine dernière.
En produisant ce genre de film, il était évident que les studios de cinéma désiraient profiter de l’engouement pour l’an 2012, sujet où règnent en maîtres les amalgames farfelus, les mauvaises interprétations et les théories burlesques. Cependant, cette bande-annonce du film 2012 va encore plus loin: en guise de stratégie marketing, elle compte sur les textes et vidéos réalisés par des auteurs ou même des sectes qui profitent de cette vague 2012.
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Pierre Berthault, alias Viéroudy (décédé en 2001), a proposé dans les années 1970 une approche parapsychologique du phénomène OVNI. On lui doit le livre intrigant: Ces OVNIs qui annoncent le surhomme, et aussi plusieurs articles dans la Revue de Parapsychologie, publié alors par un groupe de parapsychologues parisiens, le GERP. Deux anciens articles de Pierre Viéroudy (photo ci-contre, GERP) viennent d’être mis en ligne sur le site du GERP, ce qui nous permet d’avoir une vue plus large de son apport. Accrochez-vous, on décolle…
Dans la série de coupures de journaux de source non identifiée, et qui semblent dater des années 1970, voici un autre article de Germain Tardif qui parle aussi bien des différentes formes des ovnis que de l’aspect de leurs présumés occupants.
Dans ce texte, on peut notamment lire un bref compte rendu d’un cas d’atterrissage étonnant qui se serait produit à Saint-Mathias-de-Chambly en plein jour, à 11 h, le 6 octobre 1973. Ce cas, à première vue de haute étrangeté, rappelle ceux de la vague française d’ovnis de l’automne 1954; plusieurs témoins auraient aperçu un engin (deux en fait: un principal et un plus petit objet qui s’en détache) ainsi que cinq «humanoïdes» de petite taille (trois pieds, soit environ 90 centimètres de hauteur) vêtus de tenues ajustées.
Pour ajouter à l’étrangeté de l’affaire, les témoins ont déclaré que ces petits êtres semblaient flotter au-dessus du sol au lieu de marcher. L’ovni aurait laissé des traces au sol mais pas les «occupants». En cherchant sur Internet, j’ai cependant trouvé des informations que laissent croire que ce cas d’observation est nettement moins étrange qu’on tente de nous le faire croire dans cet article.
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